L’idée de bosser les pieds dans le sable à Tulum vous fait rêver ? De siroter un café latte à Lisbonne en peaufinant un logo, ou retoucher des visuels depuis un chalet cosy face aux Alpes enneigées ? Ce rêve, de plus en plus de personnes le vivent au quotidien grâce au digital nomadisme, une façon de (télé)travailler qui a littéralement explosé ces dernières années.
Et si vous avez une âme créative, un bon sens du visuel et un bon ordinateur dans votre sac à dos, le monde du graphisme vous ouvre grand les bras pour une vie nomade. Dans ce secteur, les opportunités sont nombreuses, et les contraintes sont étonnamment faibles : une bonne connexion internet, quelques outils bien choisis qu’on vous détaille plus bas), et surtout, votre talent suffisent pour décrocher des missions aux quatre coins du globe !
Alors, que vous soyez déjà designer dans l’âme ou en pleine reconversion pro, on vous embarque dans un tour d’horizon des 10 métiers du graphisme les plus compatibles (et rentables) avec la vie de digital nomad. Prêt ?
⏱ Pas le temps de tout lire ? Voici le top 3 des métiers de digital nomad les plus rentables dans le graphisme en 2025 :
1️⃣ Avez-vous déjà entendu parler du métier de designer 3D ? Avec des revenus mensuels pouvant atteindre 8000€, ce métier à la fois technique et créatif est en demande croissante, notamment grâce à l’essor des secteurs du jeu vidéo, de l’architecture et de la réalité virtuelle.
2️⃣ En top 2, on retrouve le métier de motion Designer ! Facturant entre 300€ et 800€ par jour, le motion designer peut lui aussi « facilement » gagner jusqu’à 8000€ mensuels. Un engouement dû à l’explosion de la demande en contenu vidéo ces derniers temps.
3️⃣ Très recherché sur le marché, le métier de designer UX/UI peut prétendre à des revenus entre 3000€ et 7000€ par mois. Les marques rivalisent entre elles pour améliorer l’expérience utilisateur et ainsi se démarquer, d’où une rémunération (très) attractive.
1 – Graphiste freelance

Si on vous dit « digital nomad » et « dans le monde du « graphisme », il y a de forte chance pour que la première chose qui vous soit venue en tête soit le métier de graphiste freelance. Un métier qui a plus d’une corde à son arc. Avec un ordinateur, quelques (très) bons logiciels et une connexion fiable, on peut littéralement travailler depuis n’importe quel coin du monde : la terrasse d’un café à Tbilissi, une bibliothèque à Tokyo ou une terrasse à Porto. C’est un métier qui offre une grande liberté, aussi bien en termes d’horaires que dans les lieux, qui séduira les âmes créatives parmi vous.
Concrètement, être graphiste freelance, ça implique de jongler entre différents projets pour divers clients : identités visuelles, logos, affiches, brochures ou encore bannières pour le web seront au centre de vos journées.. Mais n’allez pas croire qu’il s’agit simplement de faire des jolis visuels : chaque mission est l’occasion de faire passer un message de façon visuelle, percutante et mémorable.
Pour se lancer, il faut évidemment une bonne maîtrise d’outils comme Photoshop, Illustrator ou InDesign, mais aussi un bon œil pour les couleurs, les formes, la composition… bref, ça demande tout de même d’avoir un certain sens de l’esthétisme. Et au-delà des compétences techniques, c’est souvent votre style à vous, votre personnalité graphique, qui fera la différence.
Côté revenus, il y a une vraie marge de progression : les débutants peuvent démarrer à 250€ la journée, tandis que les profils plus expérimentés dépassent aisément les 500€, voire bien plus. La clé pour se démarquer ? Soigner son portfolio, qui sera votre vitrine, et être visible sur les réseaux (Instagram, Malt et LinkedIn seront à privilégier). Autre point clef : cultiver son réseau. Car bien souvent, ce sont les recommandations et les collaborations de long terme qui assurent la stabilité de ce métier sur la durée.
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2 – Designer UX/UI
Si vous êtes du genre à tiquer devant une appli mal pensée ou à repenser instinctivement l’agencement d’un site web, le métier de designer UX/UI pourrait bien être fait pour vous. C’est un métier à mi-chemin entre analyse et créativité, avec tout de même une pointe de psychologie client.
Concrètement, on peut voir le designer UX comme l’architecte d’un produit digital. C’est lui qui réfléchit à la meilleure façon de guider l’utilisateur du point A au point B, sans friction pour lui. Le designer UI quant à lui, joue le rôle du décorateur : il habille cette structure en la rendant belle et agréable à utiliser. Les deux casquettes sont souvent portées par une seule et même personne, surtout en freelance. Et c’est là que ça devient passionnant ! Car ça vous permet de jongler entre wireframes, prototypes, palettes de couleurs et typographies, autant de termes un peu barbares qui vous parleront très bientôt si vous vous lancez là-dedans.
Mais avant toute chose, de quoi avez-vous besoin pour vous lancer ? Parmi les prérequis, il vous faudra maîtriser des outils comme Figma ou Adobe XD, mais aussi comprendre les principes d’ergonomie, de psychologie utilisateur et de design d’interaction. Mais une fois que vous êtes lancé, les opportunités ne manquent pas : les startups tech, les agences digitales ou même les ONG ont besoin de talents capables de rendre leurs plateformes accessibles et agréables à utiliser. Les revenus sont d’ailleurs à la hauteur de la demande : avec quelques projets bien menés, vous pouvez facilement vivre confortablement n’importe où dans le monde, entre 3000€ et 7000€ par mois selon votre expérience et votre positionnement. Le plus important ? Construire un portfolio bien marketé, qui raconte vos choix de design, et construire votre storytelling autour de ça.
3 – Illustrateur digital
Pouvoir vivre de son coup de crayon tout en explorant le monde ? C’est exactement ce que permet le métier d’illustrateur digital. Si vous avez une âme d’artiste, peu importe que vous soyez adepte des dessins minimalistes ou des univers foisonnants de détails : votre style deviendra votre signature, ce pour quoi les clients vous contacteront.
Le travail d’un illustrateur digital consiste à créer des visuels sur-mesure pour tout un tas de supports : livres jeunesse, magazines, applis mobiles, jeux vidéo, affiches publicitaires, pour ne citer que quelques exemples. Chaque commande est une occasion de raconter une histoire visuelle, de capturer l’essence d’une idée. Pour cela, il faut savoir manier des outils comme Procreate, Adobe Illustrator ou Clip Studio Paint, mais aussi être capable de composer une image forte, harmonieuse, et marquante.
Côté revenus, tout dépend du type de projets et de votre notoriété : une commande simple peut rapporter quelques centaines d’euros, tandis qu’une série d’illustrations pour un éditeur ou une marque peut vite grimper à plusieurs milliers. Avec un style affirmé et une présence régulière sur des plateformes comme Instagram, Behance ou Hire an Illustrator, vous pouvez construire une clientèle fidèle et viser des revenus mensuels entre 2000€ et 6000€. Et l’avantage, c’est que tout ce dont vous avez besoin, c’est d’une tablette, de votre talent, et d’une bonne connexion pour envoyer vos fichiers depuis n’importe quel coin du globe. Donc si vous avez un bon coup de crayon et des idées à n’en plus finir, ça peut valoir le coup de tenter votre chance.
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4 – Motion Designer / Designer d’animation
C’est bien connu que notre capacité d’attention, de l’ordre de 2 secondes, est plus réduite que jamais (et les réseaux sociaux ne nous aident pas). Alors dans cette course à l’attention, inutile de préciser qu’une image animée vaut mille mots… ce qui explique que le motion design se soit imposé avec autant de force. Et la bonne nouvelle, c’est que c’est typiquement le genre de métier se prête parfaitement à une vie de digital nomad. Donc si vous aimez faire danser les pixels, ce métier peut littéralement vous emmener loin.
En tant que motion designer, votre mission est de transformer des visuels statiques en animations captivantes. Courte intro animée pour une vidéo YouTube, animation complète pour une pub, une appli ou une interface… Chaque projet est un petit film en soi, dans lequel votre mission sera de faire passer un message en mouvement.
Pour exercer ce métier, vous devez dompter les logiciels After Effects, et parfois Cinema 4D pour les animations en 3D. Une bonne connaissance des principes d’animation (bon, nous on y connait pas grand chose, mais en gros : le timing, l’anticipation, les courbes de mouvement) est essentielle, ce n’est donc pas non plus un métier qui s’improvise. Sans compter qu’il vaut mieux avoir une bonne oreille musicale : car une animation bien rythmée, c’est souvent ce qui fait toute la différence ! C’est un travail minutieux, mais ultra satisfaisant une fois que tout prend vie à l’écran.
Côté revenus, vu que c’est un métier technique, forcément les projets peuvent rapporter gros : une animation bien ficelée se facture entre 1000€ et 10 000€ selon sa complexité. En rythme de croisière, un motion designer confirmé peut générer entre 3500€ et 8000€ par mois. Pour trouver des clients, exposez vos créations sur Vimeo, YouTube ou des plateformes comme Motionographer. N’oubliez pas non plus les groupes spécialisés et les agences de production toujours à l’affût des talents agiles.
5 – Designer d’interfaces (web, applications)

Vous avez le sens du détail, un œil affûté pour les couleurs, les typos et les mises en page ? Le métier de designer d’interfaces pourrait bien être votre passeport pour une vie de digital nomad. Un rôle peu connu, qui pourtant vous place au cœur de la création visuelle des sites web, et des applications que nous utilisons tous les jours.
Contrairement au designer UX/UI qui pense les parcours utilisateurs dans leur globalité, le designer d’interfaces se concentre sur le rendu visuel. Le placement des éléments, l’harmonie des couleurs, le choix des icônes, la cohérence entre desktop et mobile… Le designer d’interface est un magicien qui transforme un squelette fonctionnel en interface qui donne envie d’être utilisée.
Côté outils, Figma, Sketch ou Adobe XD seront vos compagnons de route. Et pour survoler les compétences requises, il faut également avoir une bonne connaissance des grilles, des systèmes de design, et des standards d’accessibilité. Pas de panique si ces termes ne vous parlent pas encore !
Parlons concret maintenant. Les revenus varient selon les projets, mais pour vous donner une fourchette de revenus, un designer d’interfaces peut espérer entre 3000€ et 6000€ par mois, avec des projets complets qui peuvent grimper jusqu’à 10 000€. Pour démarrer, le meilleur plan sera de miser sur des plateformes comme Dribbble, Behance ou AngelList, et surtout, de construire un portfolio solide qui montre non seulement vos maquettes, mais aussi la logique dont vous avez fait preuve pour les construire.
6 – Photographe freelance
Vous aimez capturer le monde à travers un objectif ? Vous rêvez de transformer cette passion en lifestyle ? Alors tentez votre chance en tant que photographe freelance ! Ce métier est une opportunité unique d’être rémunéré en documentant vos voyages, en collaborant avec des marques ou en alimentant des banques d’images. Seul prérequis : avoir l’œil et le bon matériel.
Photographier ne se limite pas à prendre des simples photos (non non). C’est raconter des histoires en images. Selon vos préférences, vous pourriez couvrir des événements (comme des mariages par exemple), faire des portraits, shooter des produits, ou encore vendre des clichés de paysages. Et quand on est digital nomad, inutile de préciser qu’on a une niche toute trouvée dans les photos de voyage. Imaginez avoir un métier dans lequel vous êtes payés pour capturer un lever de soleil sur un volcan à Bali ! Le rêve, non ?
Bien sûr, il faut maîtriser la technique derrière chaque photo : la composition, la lumière, puis après coup tout ce qui concerne le post-traitement sous Lightroom ou Photoshop. Autre petit bémol (loin d’être insurmontable mais à garder en tête) : un équipement parfois encombrant qui vous accompagnera un peu partout, et qui pèsera lourd dans vos bagages. Mais en retour, les opportunités sont nombreuses. Une journée de shooting peut vous rapporter entre 400€ et 1500€, sans compter les revenus passifs via les plateformes de photos de stock ou les partenariats avec des marques. Un photographe aguerri peut atteindre 2500€ à 8000€ par mois.
Pour vous faire connaître, Instagram reste un outil puissant : c’est votre vitrine, votre carte de visite et votre terrain de jeu. Et sinon, les plateformes comme Shutterstock, Adobe Stock, ou des sites comme Fiverr et Upwork complètent l’arsenal pour trouver des missions ou vendre vos créations.
7 – Infographiste
Vous aimez les puzzles et les casse-têtes ? Travailler avec les chiffres, les simplifier et les vulgariser ? Alors envisagez le métier d’infographiste, une pépite de plus en plus prisée, surtout dans l’univers du marketing de contenu. Nul besoin de préciser que c’est une activité que vous pouvez facilement exercer partout, pourvu que vous ayez votre ordi, une bonne connexion… et un esprit synthétique (sans lequel vous risquez de galérer).
Votre mission ? Traduire des chiffres, des idées ou des process en infographies claires et percutantes. Réseaux sociaux, rapports annuels, présentations, sites web : autant de plateformes sur lesquelles vos infographies seront nécessaires. Votre mission, si vous l’acceptez : vulgariser l’information, la rendre non seulement compréhensible, mais aussi agréable à regarder. Une compétence précieuse à l’heure où tout le monde scrolle à toute vitesse !
Niveau outils, Adobe Illustrator reste le logiciel le plus utilisé, parfois accompagné de Power BI ou de Tableau pour les projets de data visualisation plus poussés. Il faut savoir manier les couleurs, les hiérarchies visuelles, mais aussi être à l’aise avec les chiffres… car c’est souvent en croisant design et logique qu’on crée un impact.
Niveau revenus, ça donne quoi ? Une infographie simple peut se vendre entre 300€ et 800€, et un projet plus élaboré peut monter jusqu’à 3000€. Un bon infographiste freelance peut viser 2500€ à 5000€ par mois, selon la régularité de ses missions. Pour décrocher des contrats, misez sur LinkedIn, Malt, et pensez à vous spécialiser (par exemple dans la santé, dans la tech, en finance…) pour vous démarquer plus facilement.
8 – Webdesigner
Créer des sites web beaux, clairs et efficaces, tout en sirotant un café à Séoul ou en profitant du coucher de soleil à Lisbonne ? C’est exactement ce que permet le métier de webdesigner. A une époque où absolument tout se passe en ligne, créer des sites web attractifs est devenu une compétence plus que recherchée.
En tant que webdesigner, vous êtes responsable de l’apparence des sites internet. Structure des pages, choix des typos, des palettes de couleurs, des boutons… Vous aurez à faire appel à votre créativité pour créer une expérience client au top.
Côté outils, Figma, Sketch ou Adobe XD sont des incontournables. Une bonne compréhension des bases du HTML/CSS, des principes d’accessibilité et du responsive design est un vrai plus, surtout si vous travaillez en équipe avec des développeurs. Plus vous comprenez leurs contraintes, plus vos designs seront solides… et vos échanges fluides.
Les tarifs varient selon l’expérience, mais un webdesigner freelance peut espérer facturer 300 à 700 € par jour. Un projet complet peut aller de 1500 à 8000 €, selon sa complexité. Avec une activité régulière, un revenu mensuel entre 3000€ et 6000€ est tout à fait atteignable.
Pour trouver des clients, les petites entreprises et les indépendants sont souvent preneurs, et des plateformes comme Malt, 99designs ou même des groupes spécialisés sur Facebook peuvent vous ouvrir de nombreuses portes. Votre portfolio sera votre passeport : soignez-le, montrez la diversité de vos projets, et surtout votre capacité à résoudre des problèmes concrets… avec élégance.
9 – Créateur de contenu visuel pour les réseaux sociaux

Créer des visuels viraux pour Instagram depuis une terrasse à Medellín, ou concevoir un carrousel LinkedIn entre deux trains en Thaïlande ? C’est possible, grâce au métier de créateur de contenu visuel pour les réseaux sociaux. Aujourd’hui, quelle marque n’aimerait pas se démarquer en ligne ? La concurrence est rude, mais c’est une bonne nouvelle pour nous car la demande pour des contenus originaux et bien pensés n’a du coup jamais été aussi forte !
Votre mission en tant que créateur de contenu : capter l’attention en quelques secondes à travers des publications qui font mouche. Stories, réels, carrousels, vignettes YouTube ou pins Pinterest… Tout dépendra des besoins de votre client. L’avantage ? Ce métier nécessite peu de matériel (un bon ordi, une connexion et le tour est joué) et s’adapte parfaitement aux collaborations à distance. Vous pouvez très bien travailler pour une marque canadienne tout en explorant l’Asie du Sud-Est, et ça, on ne dit pas non.
Côté compétences, mieux vaut être à l’aise avec Photoshop, Illustrator, ou même Canva pour les formats plus rapides. Cela va sans dire qu’il vaut aussi mieux être friand des réseaux sociaux, connaître leurs codes, et les tendances du moment.
Les revenus dépendent des prestations, mais un pack mensuel de visuels peut se facturer entre 500€ et 2000€. Avec plusieurs clients réguliers, on peut facilement atteindre 2000 à 5000€ par mois. Et pour trouver ces clients ? C’est souvent sur les réseaux eux-mêmes que ça se passe : Instagram, LinkedIn ou Twitter sont vos meilleures vitrines.
10 – Designer 3D
Si vous avez toujours eu envie de créer des mondes entiers à partir de rien, le design 3D pourrait bien être votre terrain de jeu. Jeux vidéo, films, publicités, architecture ou encore réalité virtuelle : la 3D est absolument partout, et la demande ne fait que grandir. En tant que nomade digital, c’est un domaine aussi passionnant que porteur, à condition d’avoir les bons outils (et un ordi qui tient la route !).
Le quotidien d’un designer 3D, c’est un mélange de technique et de créativité. Ca va de la modélisation des personnages pour un jeu vidéo, à celle d’intérieurs pour un cabinet d’architecture. Blender, Maya, Cinema 4D… Autant de logiciels que vous devrez apprendre à connaître sur le bout des doigts.
Côté revenus, les projets en 3D sont souvent très bien rémunérés. Un modèle basique peut facilement se vendre quelques centaines d’euros, et une animation complète peut monter à plusieurs milliers. En freelance, avec de l’expérience et un bon portfolio, il n’est pas rare de générer entre 3 500 € et 8 000 € par mois. Pour trouver des clients, misez sur des plateformes comme ArtStation, CGTrader ou tout simplement Instagram pour exposer vos créations. Autre porte d’entrée : utilisez Behance et LinkedIn pour créer du lien avec des studios ou agences du monde entier. La 3D, c’est un passeport vers des collaborations passionnantes… et un vrai luxe quand on peut bosser dessus depuis n’importe où !
Conclusion : quel métier nomade du monde du graphisme est fait pour vous ?
Bref vous l’avez compris, le graphisme offre un terrain de jeu infiniiiii pour celles et ceux qui rêvent de liberté, de créativité… et d’un bureau qui peut changer au jour le jour. Dessin, design web, animation ou 3D : vous trouverez forcément chaussure à votre pied.
Alors oui, on ne va pas se mentir : bosser depuis un hamac avec vue sur l’océan, c’est un cliché un peu trop parfait. Être digital nomad, c’est aussi apprendre à jongler entre les fuseaux horaires, les connexions Wi-Fi capricieuses et les deadlines qui n’attendent pas. Mais c’est aussi s’offrir une vie sur mesure, dans laquelle on peut choisir son rythme, son cadre de vie, et même ses projets.
Et puis, rien ne vous empêche de mixer les casquettes : beaucoup de graphistes nomades sont à la fois illustrateurs, motion designers ou photographes, selon les missions du moment. C’est ça aussi, la magie du freelancing et du nomadisme : la liberté d’explorer, d’apprendre, de vous réinventer.