Vous rêvez de parcourir le monde sans avoir à attendre la retraite ? De travailler librement, sans patron ni horaires imposés, tout en construisant une vraie carrière ? Si vous avez un faible pour WordPress, c’est peut-être le combo parfait : une activité 100 % digitale, et recherchée partout dans le monde. Mais attention, devenir freelance WordPress nomade, ça ne s’improvise pas non plus. Ca demande de l’organisation, de la stratégie, et un bon sens de l’anticipation. Dans cet article, on vous partage tout ce qu’on aurait aimé savoir avant de se lancer — avec des conseils concrets, des outils et des retours d’expérience pour bâtir une activité rentable… où que vous soyez.
Sommaire
1. Comprendre les bases du métier de freelance WordPress
2. Acquérir et développer les compétences techniques WordPress
3. Se spécialiser pour sortir du lot (et attirer les bons clients)
4. Construire un portfolio qui donne envie de vous faire confiance
5. Choisir le bon statut juridique pour démarrer
6. Fixer ses tarifs : TJM, salaire et rentabilité
7. Trouver ses premiers clients (et les garder)
8. Se former et apprendre continuellement
Conclusion : votre carrière de freelance WordPress vous tend les bras !
⏱️ Pas le temps de tout lire ? Voici les infos clefs à retenir pour devenir freelance WordPress : 🎯 Se spécialiser (par exemple dans des domaines comme le e-commerce mode ou les sites de voyage) permet de se démarquer de la concurrence… et accessoirement de justifier des tarifs premium. 💻 Un bon portfolio doit inclure des avant/après, préciser quel est votre rôle précisément, et idéalement inclure des témoignages clients. 💰 Pour fixer votre TJM, basez-vous sur vos coûts réels (vie nomade incluse), les périodes creuses et la valeur perçue de votre expertise. 👫 La clé de la fidélisation client à distance ? Une gestion de projet irréprochable, l’anticipation des besoins, et une relation humaine forte. |
Vous vous imaginez bosser en short depuis une plage à Bali, ordi posé sur les genoux, les doigts qui pianotent sur WordPress pendant qu’un smoothie arrive ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas le seul ! De plus en plus de freelances choisissent cette vie libre, créative, un peu bohème et surtout résolument moderne.
Mais derrière les photos de rêve sur Instagram, il y a une vraie aventure à construire. Se lancer en freelance WordPress, ça veut dire apprendre à jongler entre les plugins, les clients, les devis, la paperasse… et parfois, les doutes aussi.
Heureusement, vous n’êtes pas seul(e) sur ce chemin. Dans ce guide, on vous partage tout ce qu’on aurait aimé savoir au départ : les étapes concrètes, les bons outils, les galères à éviter, et les petits tips qui changent tout.
Que vous soyez encore en poste, déjà freelance ou à deux doigts de tout plaquer, ce guide est là pour vous aider à faire de votre rêve une réalité — pas seulement jolie en story, mais durable, motivante et surtout, à votre image.
1. Comprendre les bases du métier de freelance WordPress

Si vous cherchez un métier aussi flexible qu’un sac à dos de digital nomad, alors devenir freelance WordPress est sans doute l’une des meilleures options ! Contrairement aux apparences, c’est un vrai terrain de jeu créatif : un jour vous créez un site vitrine pour une coach bien-être à Bordeaux, le lendemain vous débloquez un plugin capricieux pour un client basé à Montréal, entre deux cafés glacés à Chiang Mai (bon on tire le trait, mais vous avez saisi l’idée).
Ce qu’on adore avec WordPress, c’est justement cette polyvalence : impossible de s’ennuyer ! Vous touchez à tout : design, technique, SEO, e-commerce, sécurité… C’est vivant, parfois un peu chaotique, mais jamais routinier. Et ce qui est magique ? C’est que WordPress, c’est plus de 40 % du web mondial. Oui, qu’importe où vous êtes sur la planète, vos compétences sont utiles. C’est rassurant quand on saute de fuseau horaire en fuseau horaire.
Mais avant d’en dire plus, mieux vaut casser le mythe tout de suite : ce n’est pas parce qu’on bosse les pieds dans le sable que tout roule tout seul. Être freelance WordPress, c’est aussi apprendre à tout gérer en solo : les demandes clients à minuit (merci le décalage horaire), les devis, les bugs à résoudre en urgence, et la discipline quotidienne pour ne pas se laisser embarquer par la plage ou les rooftops.
Alors, avant de vous envoler, posez des bases solides : une bonne organisation, des process clairs, des outils qui vous suivent partout. Parce que oui, vous pouvez vivre cette vie libre… à condition de bien cadrer votre terrain de jeu.
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2. Acquérir et développer les compétences techniques WordPress
L’un des trucs qu’on adore avec WordPress, c’est que l’apprentissage ne s’arrête jamais. Et franchement, tant mieux ! Parce que si vous êtes du genre à aimer relever des défis techniques entre deux vols long-courriers, vous allez vous régaler.
Avant de décoller vers votre vie de freelance libre comme l’air, il vous faut poser les fondations solides. Maîtriser WordPress, ce n’est pas juste cliquer sur “installer un thème” et bidouiller deux ou trois plugins. C’est comprendre comment tout s’articule : les extensions, l’intégration graphique, les réglages de performance, la sécurité, l’optimisation SEO… Bref, tout ce qui transforme un site basique en site pro qui tourne comme une horloge.
👉 Le meilleur moyen de progresser rapidement ? Pratiquer. Testez, cassez, recommencez. Lancez un blog perso, proposez vos services à une asso, bricolez un site pour un ami entrepreneur. Même si c’est gratuit au début, ces projets vous feront les bras… et garniront votre portfolio. Et puis, honnêtement, il n’y a rien de tel qu’un site qui plante un vendredi soir pour apprendre à garder son sang-froid.
Quels langages de programmation apprendre en priorité ?
WordPress simplifie beaucoup de choses, mais si vous voulez vraiment sortir du lot, il va falloir mettre les mains dans le cambouis (et dans un peu de code).
Votre trousse de base ? HTML, CSS et JavaScript. Ces trois langages vous permettent de personnaliser vos pages, ajuster un thème à la demande du client (“tu peux déplacer le menu ici et changer ce bouton en rose fuchsia ?”), et rendre l’expérience utilisateur plus fluide.
Et puis, il y a PHP. C’est le langage qui fait battre le cœur de WordPress. En le maîtrisant, vous pourrez aller bien plus loin : créer des plugins sur-mesure, modifier le fonctionnement natif du CMS, ou automatiser des actions avancées. Bref, c’est votre passeport pour devenir un véritable ninja WordPress.
Comment améliorer sa maîtrise du développement web ?
La formation continue constitue le nerf de la guerre dans ce secteur qui évolue à vitesse grand V.
Mais la bonne nouvelle, c’est que vous pouvez apprendre partout. Sur la route, entre deux clients, pendant une escale… À condition d’en faire une routine.
Réservez-vous des petits créneaux dans la semaine : un tuto vidéo pendant un vol, un article technique avec le café du matin, un défi de code le dimanche. Cette régularité, même par petites doses, construit des bases solides.
Et surtout : osez les projets qui vous font flipper. Ce site e-commerce complexe ? Allez-y. Cette intégration d’API dont vous ne comprenez rien au début ? Parfait. C’est dans l’inconfort qu’on apprend le plus. Et quand on bosse en remote, c’est cette capacité à s’adapter (et à se débrouiller) qui fait toute la différence.
3. Se spécialiser pour sortir du lot (et attirer les bons clients)

Quand on commence en freelance WordPress, on touche un peu à tout. Et c’est très bien : ça permet d’explorer, de comprendre ses forces, et d’affiner son style. Mais au bout d’un moment, si vous voulez vraiment décrocher des clients réguliers et bien payés, il va falloir vous spécialiser.
Pourquoi ? Parce qu’on ne retient pas les généralistes, mais on se souvient toujours des experts. Imaginez : plutôt que d’être “un développeur WordPress freelance”, vous devenez “le spécialiste des sites e-commerce pour créateurs de mode éthique” ou “l’experte des blogs de voyage optimisés SEO”. Tout de suite, ça change la donne, non ?
Cette clarté attire naturellement des clients qui se sentent compris, en confiance… et prêts à payer plus cher pour quelqu’un qui parle leur langue.
Pourquoi choisir une niche ou un type de projet ?
Comme on le disait juste avant, se spécialiser, c’est comme choisir sa destination de voyage : mieux vaut une approche ciblée qu’un tour du monde en vitesse.
En revanche, n’allez pas croire que se spécialiser, c’est se brider. Au contraire, c’est tracer une route plus claire dans l’océan des opportunités. Vous adorez le tourisme responsable ? Foncez dans la création de sites pour des écolodges, des agences locales ou des blogueurs voyageurs. Passionné(e) par l’éducation ? Pourquoi ne pas devenir expert WordPress pour les formations en ligne ou les coachs indépendants ?
En ciblant un secteur, vous apprenez à en connaître les codes, les besoins spécifiques, les attentes récurrentes. Résultat : vous êtes plus rapide, plus pertinent, plus crédible. Et les clients, eux, adorent ça.
Quels avantages à maîtriser plugins et thèmes ?
Deux compétences peuvent vraiment faire décoller votre activité : la maîtrise des plugins et la création de thèmes personnalisés.
Quand vous êtes capable de développer ou modifier un plugin, vous entrez dans la cour des grands. Vous proposez des fonctionnalités sur-mesure, qui n’existent nulle part ailleurs. Et ça, pour un client, c’est de l’or. Ces missions sont plus techniques, plus rares… et bien mieux rémunérées.
Côté design, les entreprises en ont assez des sites qui se ressemblent tous. Si vous êtes capable de créer des thèmes uniques, à la fois esthétiques et performants, vous devenez un(e) allié(e) stratégique. Et cerise sur le gâteau : vos réalisations deviennent votre meilleure vitrine pour séduire d’autres clients exigeants.
4. Construire un portfolio qui donne envie de vous faire confiance
Quand on travaille à distance, votre portfolio devient votre carte d’identité professionnelle. C’est lui qui parle pour vous, qui rassure, qui montre concrètement ce que vous êtes capable de faire. Et surtout, c’est souvent lui qui fait la différence entre un “peut-être” et un “on démarre quand ?”.
Un bon portfolio, ce n’est pas juste une galerie de jolis sites. C’est une histoire visuelle de votre parcours : ça inclut les types de clients que vous avez accompagnés, les défis techniques que vous avez surmontés, l’évolution de votre style. En d’autres termes, votre portfolio doit raconter votre valeur.
Voici quelques ingrédients essentiels à intégrer :
- Des captures d’écran claires (avant/après si possible) accompagnées de petites explications : votre rôle, les objectifs du projet, les résultats obtenus.
- Des témoignages clients courts mais sincères : quelques phrases suffisent à montrer que vous êtes pro, réactif, et que vous tenez vos promesses.
- Des liens vers vos profils pro ou vos réseaux : LinkedIn, Insta, Twitter, voire votre profil Malt ou Upwork. Ça crédibilise, ça rassure, et ça vous rend accessible.
Vous débutez ? Aucun souci. Offrez vos services sur 2-3 projets bénévoles, répondez à des appels d’offres simples, participez à des concours créatifs. Ces premières expériences ne paieront peut-être pas en euros… mais elles poseront les bases solides de votre crédibilité.
5. Choisir le bon statut juridique pour démarrer
Je pense que vous serez d’accord si on dit que l’administratif, ce n’est pas la partie la plus sexy du métier. Et pourtant… c’est lui qui vous permet de travailler librement, en toute légalité, que vous soyez à Bali, à Barcelone ou à Bangkok.
Le bon statut, c’est un peu comme un bon sac à dos : adapté à vos besoins, évolutif, et suffisamment solide pour vous accompagner partout. Beaucoup commencent avec la micro-entreprise (anciennement auto-entrepreneur), parce qu’elle est simple, rapide à créer et facile à gérer au quotidien. C’est parfait pour tester l’aventure freelance sans prise de tête.
Mais selon vos objectifs (clients à l’international, CA élevé, embauche à terme…), une EURL, SASU ou entreprise individuelle peut être plus adaptée. Ça demande un peu plus de rigueur comptable, mais vous gagnez en crédibilité, en protection… et parfois en fiscalité.
Avant de vous lancer, prenez donc vraiment le temps de comparer :
- Les plafonds de chiffre d’affaires
- Les obligations comptables
- Les cotisations sociales et votre protection santé/prévoyance
Voici un tableau qui rassemble les infos clefs à savoir sur les statuts qui s’offrent à vous :
Statut | Avantages | Inconvénients | Idéal pour… |
Micro-entreprise | – Création rapide (gratuite) – Peu de paperasse – Charges sociales simplifiées | – Plafond de CA (77 700€/an pour prestations) – Pas de déduction de frais | Débuter facilement, tester l’activité |
Entreprise individuelle (EI) | – Moins de plafond – Gestion souple – BIC/BNC au choix | – Moins de séparation entre perso/pro – Pas de statut salarié possible | Freelance expérimenté souhaitant rester solo |
EURL (1 associé) | – Imposition à l’IS possible – Séparation des biens perso/pro | – Gestion comptable plus lourde – Cotisations même sans revenu | Créer une activité structurée avec possibilité d’évolution |
SASU (1 associé) | – Statut assimilé salarié (meilleure protection sociale) – IS possible | – Cotisations sociales plus élevées – Charges fixes même sans CA | Freelance à forte valeur ajoutée ou à vocation d’agence |
Portage salarial | – Zéro gestion admin – Protection sociale complète – Accès au salariat | – Frais élevés (40 à 50% de CA) – Moins de liberté contractuelle | Ceux qui veulent voyager sans tracas administratifs |
💡 Et surtout, posez-vous la question de votre résidence fiscale si vous vivez plus de 6 mois hors de France : ça change tout. N’hésitez pas à consulter un expert-comptable qui connaît bien les indépendants à l’étranger — ça vous évitera bien des galères !
6. Fixer ses tarifs : TJM, salaire et rentabilité

Parler d’argent, ce n’est pas toujours simple… surtout quand on démarre dans le freelancing. Et encore moins quand on facture en euros depuis un hamac à Bali, tout en réglant un logement en roupies ou en pesos ! Pourtant, définir ses tarifs est une étape essentielle pour faire de votre activité WordPress un vrai levier de liberté.
👉 Fixer son TJM (taux journalier moyen), ce n’est pas juste faire une division rapide. C’est un petit jeu d’équilibriste entre vos besoins de revenus, votre style de vie nomade, vos charges, et la réalité du marché.
Il faut penser :
- À vos dépenses mensuelles, évidemment. Et pas juste l’abonnement de la salle de sport : on parle aussi de vols intercontinentaux, d’assurances santé internationales, ou du coworking en bord de mer.
- Aux périodes creuses (on en a tous), quand on décide de faire une pause pour faire un break ou que vos clients sont en vacances.
- À la valeur que vous apportez. Un site WordPress bien optimisé peut rapporter des milliers d’euros à une entreprise. Alors non, 80 € la journée, ce n’est pas « trop cher ».
Voici un tableau pour mieux visualiser les grandes tendances de TJM et vous donner une idée de ce que vous pouvez demander :
Profil | TJM moyen conseillé (France / Europe) | Commentaires |
Débutant (0–1 an) | 150–250 € | Idéal si vous commencez et cherchez vos premières missions/projets réels |
Confirmé (2–4 ans) | 250–400 € | Vous avez un bon portfolio et vous ciblez des PME ou des indépendants sérieux |
Expert / Niche technique (plugins, SEO…) | 400–600 € | Vous êtes spécialisé(e) sur un segment précis à forte valeur ajoutée |
Ultra-niche / UX, e-commerce complexe | 600 € et + | Pour les freelances seniors qui ciblent des clients premium ou internationaux |
7. Trouver ses premiers clients (et les garder)
C’est sans doute LA grande question qui fait tourner la tête à tous ceux qui se lancent : “Comment je vais trouver des clients… depuis l’autre bout du monde ?”
Bonne nouvelle : le digital nomadisme ouvre plus d’opportunités qu’il n’en ferme. Chaque destination devient un terrain de networking potentiel. Chaque rencontre dans un coworking, chaque discussion lors d’un meetup ou d’un apéro d’expats peut déboucher sur une mission (si, si, ça arrive !).
Mais pour sécuriser des missions régulières, il faut aussi une vraie stratégie d’acquisition à distance.
Comment prospecter efficacement ?
C’est souvent la partie qui fait un peu peur au début. On s’imagine qu’en travaillant depuis une plage en Asie, il sera plus difficile de décrocher des missions qu’en étant à Paris ou Lyon. En réalité, c’est tout l’inverse qui se passe souvent : à force de bouger, on croise plein de gens, on se crée un réseau international, on échange des idées, des bons plans… et parfois, ça débouche sur de vraies collaborations. Le monde est plus petit qu’on ne le croit, surtout dans l’univers du freelancing.
Cela dit, rien ne remplace une présence solide en ligne. Votre site doit respirer le professionnalisme, votre portfolio doit être vivant, à jour, humain. Un prospect doit pouvoir comprendre en quelques secondes ce que vous faites, comment vous travaillez, et surtout pourquoi vous êtes différent. Il ne s’agit pas d’avoir le plus beau site du monde, mais celui qui raconte vraiment votre histoire, votre approche, vos valeurs.
Partager vos expériences de nomade freelance, vos défis techniques ou vos réussites client sur LinkedIn, un blog ou une newsletter vous permet de créer une vraie connexion avec vos prospects. Ils ne vous trouvent plus via une pub ou un annuaire, mais parce qu’ils ont lu quelque chose qui les a touchés ou intéressés. Et ça change tout.
Et puis, dans chaque pays où vous posez vos valises, vous pouvez rencontrer des entrepreneurs, des freelances, des porteurs de projets qui cherchent justement un WordPressien ou une WordPressienne compétente. La vraie question n’est pas “où trouver des clients ?” mais plutôt “comment leur montrer que je suis la bonne personne pour les accompagner, peu importe où je suis”.
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Fidéliser ses clients sur le long terme (même à distance)
On pense souvent que la fidélisation est difficile quand on est à l’autre bout du monde. Et pourtant, de nombreux freelances nomades arrivent à conserver les mêmes clients pendant plusieurs années, même en changeant de continent tous les trois mois.
Le secret, c’est la fiabilité. Être là quand il faut. Répondre rapidement. Livrer dans les délais. Tenir ses engagements. Montrer qu’on a anticipé un problème avant même que le client ne le remarque. Et surtout : créer une vraie relation de confiance.
Quand un client sent que vous êtes à l’écoute, que vous ne disparaissez pas dans la nature au premier changement de fuseau horaire, il se détend. Il se repose sur vous. Et là, la magie opère : vous devenez son point de repère. Ce genre de relation ne se construit pas en une mission, mais à force de rigueur, de transparence et de petites attentions. Un rapport bien rédigé, une réunion offerte pour faire le point, une proposition d’amélioration envoyée spontanément… Tout ça pèse beaucoup plus que de longues promesses commerciales.
Et puis il y a l’autre ingrédient clé : la curiosité. En suivant de près les nouveautés WordPress, en testant des plugins innovants, en restant au courant des tendances, vous pouvez proposer des idées neuves à vos clients. Vous les surprenez. Vous les inspirez. Et vous leur montrez que vous ne faites pas juste “du WordPress”, mais que vous êtes une vraie ressource stratégique pour leur activité.
8. Se former et apprendre continuellement
La vie de freelance WordPress, ce n’est pas un long fleuve tranquille. Ce n’est même pas une mer calme. C’est plutôt un océan en perpétuel mouvement. Et si vous ne continuez pas à apprendre, à vous adapter, à explorer, vous risquez vite de vous faire doubler par la vague suivante.
Mais heureusement, en tant que nomade, vous avez un atout de taille : la liberté d’organiser votre apprentissage comme vous le voulez. Vous pouvez regarder un tuto en sirotant un smoothie en Colombie, écouter un podcast technique dans un bus au Vietnam ou suivre un bootcamp en ligne entre deux journées de coworking à Berlin.
La formation continue devient un réflexe, un mode de vie. Et souvent, plus on apprend, plus on a envie de transmettre. Aider un débutant à résoudre un bug, publier un tutoriel sur votre blog ou même proposer une petite formation… tout ça vous permet non seulement de renforcer vos compétences, mais aussi d’élargir votre réseau.
Se former, ce n’est pas seulement lire la dernière doc de WordPress. C’est aussi affiner sa posture de freelance, découvrir de nouvelles méthodes d’organisation, expérimenter des outils plus puissants, ou comprendre comment mieux vendre son expertise. C’est ça, le vrai pouvoir du freelance nomade : il ne se repose jamais sur ses acquis, parce que chaque nouvelle étape de son voyage est aussi une nouvelle étape dans sa carrière.
Conclusion : votre carrière de freelance WordPress vous tend les bras !
Prêt à devenir freelance WordPress tout en vivant votre rêve nomade ? Être freelance WordPress tout en vivant aux quatre coins du monde, ce n’est pas un mythe réservé à une élite. C’est un mode de vie qu’on construit pas à pas, avec ses doutes, ses galères, mais aussi ses immenses satisfactions. Ce n’est pas toujours simple, mais c’est profondément gratifiant. Parce que le jour où vous signez une mission pendant que le soleil se lève sur un rooftop à Buenos Aires, vous vous rappelez pourquoi vous avez choisi cette vie.
Alors, prêt à coder depuis un hamac ou à gérer vos clients depuis un train au Japon ? Il n’y a pas de meilleur moment pour se lancer. C’est le bon moment maintenant.