Travailler à Bali, c’est un peu le fantasme de toute une génération de freelances et de digital nomads. Mais entre rêve tropical et réalité administrative, il y a parfois un monde. Peut-on vraiment télétravailler les pieds dans le sable ? Quels sont les visas autorisés, les secteurs qui recrutent, les salaires possibles ? Dans cet article, on vous livre un tour d’horizon honnête et concret de ce que signifie travailler à Bali en 2025, que vous soyez salarié, indépendant ou entrepreneur dans l’âme.
Sommaire
1. Se préparer à travailler à Bali : visas, papiers & réalité du terrain
2. Travailler à Bali : quelles opportunités réelles pour les expatriés ?
3. Conditions de travail, rémunération et réalité locale
4. Vivre à Bali : entre rencontres, quotidien et intégration
Conclusion : travailler à Bali, c’est avant tout une transformation intérieure
⏱ Pas le temps de tout lire ? Voici les infos à savoir pour travailler à Bali : ✅ Travailler légalement à Bali nécessite d’avoir le visa KITAS : aucun travail, même à distance, n’est autorisé avec un visa touristique. 💼 Pour trouver un job sur place, les opportunités concernent surtout les profils qualifiés (dans le tourisme haut de gamme, le management, ou encore le marketing international). 💻 Le freelancing et le télétravail sont trèèèss répandus, avec comme gros avantages des revenus facturés au tarif occidental. 🛵 Pour la vie quotidienne : le scooter devient vite indispensable, les villas en colocation sont courantes, et les espaces de coworking sont les meilleurs lieux pour réseauter. |
Ah, Bali… Rien que le mot suffit à faire voyager. On l’entend presque, ce petit clapotis des vagues au loin, ce gamelan discret qui flotte dans l’air tiède, cette odeur d’encens mêlée à celle du café balinais fraîchement moulu. On s’y voit déjà, à pianoter sur son ordi depuis un petit warung caché entre les rizières, ou à répondre à ses mails avec, en fond sonore, le chant des geckos.
C’est vrai qu’elle a tout pour faire rêver, cette île. Surtout quand notre quotidien rime un peu trop avec métro-boulot-burn-out. L’idée de troquer l’open space gris contre une villa lumineuse avec piscine, de remplacer les réunions interminables par des pauses surf au coucher du soleil… Comment ne pas fantasmer ?
Mais voilà : ce n’est pas parce que c’est beau que c’est simple.
Travailler à Bali, ce n’est pas juste poser son ordi sous un cocotier (même si on ne va pas se mentir, on le fait tous au moins une fois pour la photo). C’est aussi jongler avec les visas parfois changeants, comprendre la culture locale sans la survoler, trouver un rythme de vie qui ne ressemble à celui de personne mais qui vous ressemble à vous.
C’est une aventure, une vraie. Avec ses moments de grâce, ses doutes, ses galères administratives un peu absurdes et ses instants suspendus qu’on n’aurait jamais pu vivre ailleurs.
Alors, si vous hésitez encore entre tout plaquer ou juste rêver tout haut, venez : on va parler vrai. Pas de filtres, pas de clichés, juste un regard honnête sur ce que ça signifie vraiment travailler à Bali.
1. Se préparer à travailler à Bali : visas, papiers & réalité du terrain

Commençons par le plus terre-à-terre — et clairement le moins sexy : l’administratif. Parce que même à Bali, entre deux smoothies mangue-passion et une session surf à Canggu, il faut composer avec l’implacable réalité… des visas.
Et croyez-nous, ce n’est pas le moment de faire l’autruche.
L’Indonésie, aussi accueillante soit-elle, ne plaisante pas du tout avec les questions de travail illégal. Travailler sans permis, c’est risquer une expulsion express, un joli tampon noir dans le passeport, et parfois même une interdiction de territoire. Autrement dit : la version tropicale du cauchemar administratif.
Alors comment faire les choses bien, sans stress ni mauvaise surprise ?
Les différents visas qui existent pour aller à Bali
Pour bosser légalement à Bali, il vous faut un permis de travail (appelé KITAS) — et pas juste un visa touriste. Mais il y a un hic : ce permis, vous ne pouvez pas l’obtenir tout seul. Il doit être sponsorisé par un employeur local. Oui, c’est un peu le serpent qui se mord la queue : il faut un job pour avoir un visa, mais être sur place pour décrocher un job…
En parallèle, il existe d’autres types de visas, souvent détournés (à vos risques et périls) :
- Le visa touriste : pas question de travailler, même à distance. Même un post sponsorisé ou une presta freelance, c’est théoriquement interdit.
- Le visa socio-culturel B211A : souvent utilisé par les nomades pour télétravailler discrètement… mais ce n’est pas légalement prévu pour ça.
- Le KITAS (permis de travail) : la seule vraie voie clean si vous êtes salarié.
Pour les digital nomads : le flou artistique
C’est là que ça se corse un peu.
La bonne nouvelle ? Le gouvernement indonésien travaille activement sur un visa digital nomad officiel. La mauvaise ? Pour l’instant, on attend toujours sa mise en œuvre concrète. Résultat : beaucoup naviguent à vue, alternant entre visas touristiques, extensions, et quelques prières à Ganesha pour éviter les contrôles.
Faites donc bien attention à rester à jour sur les lois, suivez les groupes d’expat sur Telegram ou Facebook, et surtout… n’improvisez pas trop.
⚠️ À retenir : les bases pour être en règle ❌ Le visa touristique ne permet aucune activité rémunérée, même à distance. ⚖️ Le visa socio-culturel (B211A) est utilisé par certains télétravailleurs, mais reste juridiquement flou. ✅ Le seul cadre 100 % légal pour travailler à Bali, c’est le KITAS (leur permis de travail longue durée). 🧑💼 Pour l’obtenir, il faut un employeur local qui sponsorise votre demande. 📌 Ne prenez pas cette question à la légère, car les autorités indonésiennes sont strictes. Travailler illégalement = risque réel d’expulsion. 📰 Un visa digital nomad officiel est en discussion, mais pas encore en place (à suivre !). |
🔎 A lire aussi dans notre dossier sur Bali :
• Assurance voyage Bali : bien préparer son séjour en Indonésie
• Où loger à Bali en 2025 ? Les meilleurs endroits de Ubud à Canggu
• Vivre à Bali : le guide complet pour s’expatrier en 2025
• Les 12 meilleurs cafés pour travailler à Bali : les adresses préférées des digital nomads
Coworking & communauté
Même si le côté administratif n’a rien de très agréable, travailler à Bali reste une expérience vraiment unique. D’Ubud à Canggu en passant par Seminyak, l’écosystème nomade y est incroyable et hyper développé..
Là-bas, vous y croiserez des freelances du monde entier : des startuppers, des coachs de vie, des artistes du web, et la liste est encore longue ! L’ambiance est vibrante, les connexions faciles, et les idées fusent comme les grains de café qu’on moud au comptoir.
Mais rappelez-vous une chose : Bali, ce n’est pas une parenthèse enchantée sans règles. Pour que votre rêve dure, il faut un peu d’anticipation et beaucoup de bon sens.
2. Travailler à Bali : quelles opportunités réelles pour les expatriés ?

Bon, maintenant qu’on a parlé de visas et de paperasse, passons aux choses sérieuses : où et comment bosser à Bali ?
Spoiler : ce ne sera peut-être pas là où vous l’aviez imaginé — mais il y a beaucoup plus de possibilités qu’on ne le pense, surtout si vous savez tirer parti de vos talents.
La vérité, c’est que Bali n’est pas une Silicon Valley tropicale où les CDI pleuvent dès l’arrivée à l’aéroport. Mais si vous avez une expertise, un bon réseau, et un peu de patience, vous pourriez bien y trouver votre place au soleil.
Tourisme, hôtellerie et restauration : les principaux recruteurs
C’est sans surprise que l’économie balinaise tourne encore beaucoup autour du tourisme. Villas de luxe, hôtels, restos tendances, retraites bien-être… Il y a de l’activité, mais aussi beaucoup de concurrence.
👉 Pour les postes dits « formels », on cherche souvent des profils costauds :
- managers hôteliers avec expérience internationale,
- experts en marketing touristique,
- chefs hautement qualifiés,
- ou encore responsables de spa ou d’événements.
Votre maîtrise du français peut d’ailleurs faire la différence : la clientèle francophone est bien présente sur l’île.
Mais soyons lucides : les postes « opérationnels » de type serveur ou réceptionniste sont prioritairement réservés aux locaux — logique, et encadré par la loi.
Là où les étrangers ont leur carte à jouer, c’est dans les fonctions stratégiques, managériales ou créatives, souvent inaccessibles sans une solide expérience.
Digital nomad & métiers du web
Si vous êtes freelance, consultant ou entrepreneur en ligne… vous êtes au bon endroit.
Le boom du travail à distance a fait de Bali THE place to be pour les télétravailleurs du monde entier.
Aucun doute que vous aurez l’occasion d’y croiser des designers graphiques, des développeurs, des rédacteurs web, des coachs business, des marketeurs SEO, ou encore des créateurs de contenu… Bref, tous les métiers du web y sont présents.
Tout le monde bosse sur son Macbook avec une noix de coco à portée de main.
Mais attention : ce rêve de liberté vient avec quelques devoirs. Il faut penser à la résidence fiscale, au statut légal d’expatrié, et à bien organiser sa gestion pro (facturation, déclarations, etc.).
Créer sa boîte à Bali : un rêve… qui se prépare sérieusement
Envie de lancer un business local ? Ouvrir un café, proposer des retraites, lancer une marque made in Bali ?
C’est possible — et beaucoup l’ont fait. Mais ce n’est pas un projet à improviser.
Il existe des contraintes juridiques (notamment sur la propriété étrangère) et des structures légales à respecter (PT PMA, partenariats locaux…). Bref, c’est un projet à part entière, qui nécessite de bons conseils juridiques et une connaissance fine du contexte local.
💡 Les infos clés à retenir : 🌍 Vous cherchez un job sur place ? Visez les secteurs tournés vers l’international : hôtellerie haut de gamme, tourisme, marketing digital… 🛠️ Pensez freelance ou entrepreneuriat : beaucoup de profils réussissent en conservant une clientèle à l’étranger. 🤝 Les stages et missions courtes sont souvent une première porte d’entrée avant un contrat plus long. 📇 Développez votre réseau sur place : à Bali, les meilleures opportunités ne passent pas par LinkedIn. ⚖️ Monter sa boîte à Bali ? Oui, mais entourez-vous d’un avocat local : la réglementation est complexe pour les étrangers. |
🔎 A lire aussi dans notre dossier sur Bali :
• Guide Bali : Que faire à Ubud en 4 jours ?
• Scooter, taxi ou appli ? Comment se déplacer à Bali en 2025
• Coût de la vie à Bali : quel budget prévoir pour s’installer en tant que digital nomad ?
• Digital nomad Bali : l’île idéale pour les travailleurs nomades
3. Conditions de travail, rémunération et réalité locale

Parlons peu, parlons vrai.
Bali, c’est magnifique. Mais même sous les palmiers, les factures ne se paient pas avec du sable blanc ou des couchers de soleil.
Alors, à quoi peut-on s’attendre niveau salaire et conditions de travail ? On vous prévient de suite : il va falloir adapter votre regard et abandonner certaines habitudes occidentales.
Une autre façon d’aborder le travail
Travailler à Bali, c’est aussi changer de rythme, de culture, et parfois… de logique.
La fameuse “jam karet” — littéralement, « le temps élastique » — fait partie de l’ADN balinais. Ici, les horaires sont plus souples, les deadlines plus flottantes, les priorités parfois… réinventées au fil de la journée.
Cela peut être déroutant au début, surtout si vous venez d’un environnement où chaque minute est comptée. Mais avec le temps, on apprend à respirer autrement, à lâcher prise (un peu), et à faire preuve de patience et d’adaptation.
À quoi ressemblent les salaires à Bali ?
On entre dans le dur. Ce que vous allez gagner dépend énormément de votre statut, de votre secteur et de votre stratégie.
Voici un panorama réaliste :
- 👨🌾 Salaires locaux : Pour les postes opérationnels classiques (accueil, restauration, administratif…), on parle souvent de 200 à 400 € par mois. C’est peu selon nos standards, mais correspond au coût de la vie locale pour un·e Balinais·e.
- 👩💼 Expatriés qualifiés : Si vous venez avec une expertise pointue et que vous êtes embauché·e avec un contrat international, le deal change : salaire plus élevé, et souvent des avantages en nature (logement, voiture, assurance…). Dans certains cas, ça peut vraiment valoir le coup — surtout dans les grandes chaînes hôtelières ou les entreprises internationales implantées sur l’île.
- 💻 Freelances & digital nomads : C’est là que ça devient intéressant. Si vous facturez vos clients en euros ou en dollars tout en vivant en roupies, vous pouvez atteindre une vraie liberté financière. Beaucoup de nomades vivent (très) confortablement à Bali avec des revenus proches de ceux qu’ils auraient en Europe, mais avec un coût de vie bien inférieur.
- 🎓 Stages & apprentissage : Généralement, ils sont peu ou pas rémunérés. Mais l’intérêt n’est pas que financier, car ces expériences peuvent ouvrir des portes. Ca vous donne accès à un réseau solide, voire même ça vous permet de poser des bases pour une future carrière balinaise si vous vous voyez bien y vivre sur le long terme.
Ne regardez pas que le chiffre sur la fiche de paie
Travailler à Bali, c’est aussi considérer tout le “package global” :
- les horaires (souvent flexibles, parfois aléatoires),
- les congés (différents selon les statuts),
- la sécurité sociale (quasi inexistante pour les étrangers),
- l’assurance santé privée (indispensable),
- et la stabilité du contrat (souvent plus fragile qu’en France).
Prenez aussi en compte la qualité de vie. Ici, on peut vivre mieux avec moins : logement, nourriture, activités… tout est plus abordable si l’on s’adapte à un style de vie local.
Et si c’était une étape, pas une finalité ?
Beaucoup arrivent à Bali avec un projet temporaire… qui finit par durer.
Un stage peut se transformer en CDI. Une mission freelance peut devenir une entreprise. Une idée un peu folle peut faire naître un projet aligné.
Le plus important ? Rester à l’écoute de la réalité, ne pas idéaliser, mais avancer en étant ouvert aux opportunités.
📌 Les chiffres clefs à retenir : 👩💻 Salarié local : souvent entre 100 et 400 €/mois pour des postes opérationnels. 🧳 Expat qualifié : le package est plus confortable, souvent avec logement, véhicule ou assurance inclus. 🌐 Freelance/digital nomad : les revenus sont variables mais ça laisse la possibilité de facturer à l’européenne et tout en vivant à la balinaise. 📉 Attention : pas de couverture santé locale automatique → prévoyez une assurance privée. 🕰️ Horaires balinais = parfois flous ! Soyez prêt à adapter vos habitudes de travail. |
4. Vivre à Bali : entre rencontres, quotidien et intégration
Travailler à Bali, ce n’est pas juste changer de fuseau horaire. C’est plonger dans un art de vivre à part, fait de contrastes, de couleurs, de silences aussi — et surtout de rencontres.
Car une chose est sûre : si vous êtes un tant soit peu curieux·se et ouvert·e, vous ne resterez jamais seul·e bien longtemps sur l’île.
Un terreau fertile pour les rencontres
Les espaces de coworking à Bali, ce ne sont pas juste des bureaux avec du bon WiFi et du latte art en forme de cœur. Ce sont de véritables hubs communautaires, où se croisent développeurs en reconversion, coachs en quête de sens, créatrices de contenu inspirées, et startupers survoltés.
Chaque semaine, des talks, des ateliers, des sessions de yoga, des apéros, des brunchs business… Vous l’aurez compris : la vie pro et la vie sociale s’entremêlent sans cesse, dans une énergie très particulière.
Et c’est là que la magie opère : une conversation autour d’un kombucha peut déboucher sur un partenariat inattendu ou une nouvelle mission freelance.
Le quotidien, version balinaise
Mais au-delà du réseau, il y a… la vie. La vraie. Celle qui commence quand vous fermez votre ordi et que vous enfilez vos tongs pour aller chercher des nasi goreng.
- Logement : À Bali, on loue plus souvent une villa en colocation qu’un appartement en solo. Cela permet de tester plusieurs quartiers (Seminyak, Canggu, Ubud, Sanur…) avant de poser ses valises. La bonne nouvelle : les offres sont nombreuses et flexibles, surtout hors saison.
- Transport : Vous allez vite comprendre pourquoi tout le monde roule en scooter ici. C’est le moyen de transport incontournable, que ce soit pour filer à un rendez-vous ou rejoindre la plage au coucher du soleil. Investir dans un scooter fiable (et un bon casque !) est une priorité dès votre arrivée.
- Coût de la vie : Il est globalement avantageux, surtout si vous adoptez un mode de vie “local-friendly”. Les warungs (petits restos balinais) sont délicieux et abordables, les logements aussi. Mais attention aux pièges à expats : tout ce qui concerne l’alimentation importée, les produits de luxe et les services occidentalisés peuvent vite faire grimper la facture.
Intégrer la culture locale : plus qu’un bonus, une nécessité
Ne faites pas l’erreur de rester enfermé dans une “bulle d’expats”.
Certes, la communauté internationale est chaleureuse et accueillante. Mais tisser des liens avec les Balinais donnera énormément de profondeur à votre expérience. Pour ça, essayez de participer à des événements locaux, investissez-vous dans une asso, ou suivez quelques cours de bahasa indonesia.
Ces initiatives montrent votre volonté de vous intégrer, et créent une vraie connexion humaine.
Le réseau : votre meilleur allié
Si vous deviez retenir une seule chose, ce serait celle-ci : le réseau fait toute la différence.
À Bali, beaucoup d’opportunités passent par le bouche-à-oreille. Alors sortez, échangez, présentez-vous. Faites le premier pas. Chaque rencontre compte. Et parfois, ce n’est pas celle qu’on attendait qui change la donne.
En quelques semaines, vous pourriez trouver un nouveau client, décrocher un poste, ou tout simplement rencontrer des personnes qui vous inspirent profondément.
📌 Astuces pour mieux s’installer (et s’intégrer) : 🏠 Commencez par une colocation ou une villa partagée pour tester différents quartiers. 🛵 Le scooter est LE moyen de transport à privilégier (et à maîtriser !). 🤗 Participez à des événements locaux ou prenez des cours de bahasa indonesia pour faciliter votre intégration. 🤝 Les espaces de coworking sont les nouveaux carrefours sociaux : allez-y souvent, même juste pour un café. 🌐 Utilisez des groupes Facebook, événements Meetup, ou plateformes comme Nomad List pour rencontrer d’autres expats. |
Conclusion : travailler à Bali, c’est avant tout une transformation intérieure
Venir à Bali pour y travailler, c’est rarement une simple décision professionnelle. Ca cache bien souvent quelque chose de plus profond : une volonté de retrouver du sens, de ralentir, de se reconnecter à soi et au monde.
Entre le rythme alangui des journées, les rituels spirituels du quotidien, et la vivacité d’une communauté internationale en mouvement, Bali a cette capacité unique à nous transformer — parfois sans qu’on s’en rende compte.
Mais attention : le rêve balinais ne s’improvise pas. Il demande de la préparation, de l’adaptabilité, du respect culturel et une vraie capacité à sortir de sa zone de confort.
Travailler à Bali, ce n’est pas fuir la réalité.
C’est choisir une autre manière de vivre sa vie pro, plus libre, plus fluide, mais pas moins engagée.
Alors si vous sentez cet appel du large, si vous avez envie d’inventer un quotidien qui vous ressemble… peut-être que Bali est faite pour vous.