50 choses à faire dans sa vie (version digital nomad)

Travailler en remote, ce n’est pas seulement changer de lieu de travail : c’est aussi et surtout réinventer sa façon de vivre. Être digital nomad, c’est s’ouvrir à des expériences qu’on n’aurait jamais osé tenter autrement. Des aventures sportives, des rencontres improbables, des silences lourds de sens, des découvertes culinaires… Autant de moments qui donnent du relief à notre quotidien pro. Ce guide vous propose 50 choses à faire dans sa vie pour nourrir votre vie nomade d’émotions, de défis et de souvenirs.

​⏱️​ Pas le temps de tout lire ? Voici notre top 3 des choses à faire absolument !

🌿​ Participer à une détox digital de 24h en pleine nature pour vraiment se reconnecter à soi. Rien de tel qu’une retraite silencieuse de yoga à Bali ou en Inde pour se recentrer !

👫​ Vous voulez vivre une expérience qui vous marquera à jamais ? Que dites-vous de dormir chez l’habitant dans un village isolé, au Kirghizstan ou au Vietnam ? Immersion authentique garantie !

🚗​ Pour les amateurs de beaux paysages, louez un van pendant quelques semaines en Nouvelle-Zélande ou au Portugal. Choisir son itinéraire au jour de la jour, et vivre en pleine nature, ça donne un sentiment de liberté qui vous marquera pendant longtemps.

📌 Quelque soit l’aventure sur laquelle vous jetterez votre dévolu, pensez à souscrire à une assurance voyage afin de partir l’esprit serein !

Travailler depuis une terrasse ensoleillée à Lisbonne, répondre à vos emails face à l’océan Indien ou brainstormer entre deux cafés balinais… Si votre bureau tient dans un sac à dos et que votre quotidien change de décor au fil des fuseaux horaires, cette liste est faite pour vous.

Vous l’avez compris, la vie de digital nomad, ce n’est pas juste un mode de travail — c’est une invitation permanente à l’aventure. Fini le métro-boulot-dodo, on troque les pauses déjeuner de la cantine contre des repas de rue à Bangkok, et les dimanches pluvieux contre des treks au cœur des Andes.

Dans cette liste de 50 choses à faire dans sa vie (version nomade), on a rassemblé des expériences qui font vibrer, qui secouent, qui émerveillent. Des petits défis du quotidien aux grands moments de dépassement de soi. L’idée ? Vous inspirer à vivre pleinement cette liberté que vous vous êtes offerte — sans jamais trop vous éloigner du wifi, bien sûr.

Alors, on décolle ?

10 aventures en pleine nature

50 choses à faire dans sa vie nature

Parce qu’il y a des moments où l’on a juste besoin de sentir le vent, la terre, l’eau… et de ne penser à rien d’autre.

Quand on vit la tête dans les écrans, les appels clients, les deadlines et les tableaux Excel, il arrive un moment où le corps et l’esprit réclament autre chose. Un besoin de couper, de ralentir, de retrouver ce silence qu’on n’entend plus. Et ça tombe bien : la vie de digital nomad permet aussi ça. Ces parenthèses hors du temps, où l’on oublie Slack et où la seule notification qui compte, c’est celle du soleil qui se lève.

Voici quelques expériences en pleine nature à glisser entre deux projets, pour se reconnecter à l’essentiel et revenir rechargé(e) comme jamais.

1. Dormir à la belle étoile dans le désert du Wadi Rum (Jordanie)

Imaginez vous un instant. Plus aucun signal, juste les étoiles, le sable encore tiède et ce silence profond qui enveloppe tout. Dans le Wadi Rum, les nuits sont d’une beauté presque irréelle. Oubliez les matelas moelleux : ici, on dort sur des tapis sous les constellations. C’est brut, c’est simple, c’est parfait.

2. Grimper le mont Batur au lever du jour (Bali)

Réveil à 3h, frontale sur la tête, pieds encore endormis… mais l’ascension en vaut chaque goutte de sueur. Là-haut, le soleil perce l’horizon, le ciel se colore, et Bali s’étire lentement sous vos yeux. On y partage un café brûlant et quelques œufs cuits à même la vapeur volcanique. Une vraie leçon de présence à soi.

3. Faire du kayak dans la baie de Phang Nga (Thaïlande)

Entre les falaises karstiques dressées au-dessus de l’eau émeraude, on pagaie doucement. Parfois, on s’arrête. Pour écouter le clapotis. Pour explorer une grotte cachée. Pour respirer. Le genre de pause dont on se souvient longtemps après avoir fermé son ordinateur. Faire du kayak dans la baie de Phang Nga, ça fait partie de ces souvenirs qui restent gravés dans votre mémoire.

4. Camper au bord d’un lac glaciaire dans les Rocheuses (Canada)

Le jour, c’est le bleu irréel du lac. La nuit, c’est la voie lactée, sans un bruit autour. On s’endort dans une tente face aux montagnes, avec l’impression d’être minuscule dans un décor immense. Et pour les accros du wifi, rassurez-vous : certains spots sont connectés.

5. Marcher dans une forêt tropicale au Costa Rica

Ici, tout est vivant. Ça bruisse, ça crie, ça vole, ça rampe (oui, aussi). On avance entre les lianes et les troncs immenses, comme dans un rêve vert. Un singe s’approche. Un paresseux nous ignore royalement. C’est la jungle, la vraie – celle qui nous rappelle à quel point on fait partie d’un tout.

6. Plonger dans une cascade au cœur de la jungle (Laos, Colombie…)

Que ce soit les chutes de Kuang Si au Laos ou celles de La Chorrera en Colombie, plonger dans ces piscines naturelles au cœur de la jungle procure une sensation assez incroyable. Parce que parfois, il suffit juste d’un saut. De l’eau glacée qui nous enveloppe. Et tout se remet en place. Ces cascades, nichées au fond de forêts exubérantes, offrent un moment de liberté brute. Et une déconnexion immédiate.

7. Faire du paddle sur un lac volcanique (Guatemala, Indonésie)

Le lac Atitlán au Guatemala ou le lac Bratan à Bali offrent des sessions de paddle inoubliables. Au milieu d’un calme absolu. Vous, debout sur votre planche, entouré de volcans majestueux, avec le ciel qui se reflète sur l’eau lisse comme un miroir. C’est presque trop beau pour être vrai. Alors on ne pense plus à rien, on glisse, et on profite.

8. S’essayer à la randonnée de nuit sous les étoiles (Chili, Cap-Vert)

Dans le désert d’Atacama ou sur les îles du Cap-Vert, la pollution lumineuse est quasi inexistante. Alors quel meilleur endroit pour randonner de nuit ? À la lueur d’une frontale, on avance doucement. Et quand on l’éteint… le ciel s’illumine. Pas de lampadaires, juste la voie lactée qui vous accompagne. Une expérience mystique qui relativise nos petits tracas quotidiens.

9. Participer à un clean-up de plage collectif

Parce que voyager, c’est aussi donner. Ramasser des déchets sur une plage, avec des inconnus qui partagent vos valeurs, crée un sentiment de lien fort. Ce petit geste, dans un décor de rêve, a un impact bien réel. Et on repart en laissant l’endroit encore plus beau qu’avant d’arriver.

10. Observer les aurores boréales en Laponie ou en Islande

Il fait froid. Très froid. Mais quand le ciel s’embrase de lumières vertes et dansantes, on oublie tout. Voir danser ces rideaux de lumière verte dans le ciel arctique reste l’une des expériences les plus magiques qu’on puisse vivre. Entre novembre et mars, depuis Tromsø, Reykjavik ou la Laponie finlandaise, ces spectacles célestes transforment les nuits glaciales en souvenirs éternels. On reste là, bouche bée, comme un enfant devant un feu d’artifice céleste. Un moment suspendu dans le temps, gravé à jamais.

8 micro-aventures urbaines

50 choses à faire dans sa vie ville

Parce que parfois, on n’a pas besoin d’aller loin pour vivre quelque chose d’inattendu.

Quand on vit à l’autre bout du monde ou qu’on change de ville tous les mois, on oublie souvent que l’aventure ne se cache pas toujours au fond d’une jungle ou au sommet d’une montagne. Parfois, elle commence juste au coin de la rue. Une porte entrouverte, un marché local, une station de métro inconnue : chaque détail peut se transformer en découverte.

Voici quelques idées pour redécouvrir votre environnement urbain avec des yeux d’explorateur… et un peu de wifi dans la poche.

11. Se perdre dans les ruelles de Lisbonne avec un carnet et un appareil photo

Lisbonne, c’est ce genre de ville où se perdre devient un plaisir. Alfama, Bairro Alto, Príncipe Real… On grimpe, on redescend, on suit l’écho d’un fado qui s’échappe d’une fenêtre, on s’arrête devant un vieux café. L’odeur du linge propre, les azulejos délavés, un graffiti inspirant. Chaque détour est une rencontre, chaque photo un souvenir. Et dans le carnet, on note ce qu’on ressent, pas juste ce qu’on voit.

12. Suivre un parcours street art à Berlin, Valparaíso ou Melbourne

Le street art, c’est l’âme d’une ville qui s’exprime sans filtre. En flânant dans les rues de Berlin, les collines colorées de Valparaíso ou les ruelles arty de Melbourne, on découvre bien plus que de simples fresques : des cris, des espoirs, des révoltes. On regarde les murs, mais on écoute aussi ce qu’ils ont à dire.

13. Grimper sur un rooftop secret à Bangkok ou Mexico City

La ville vue d’en haut, c’est une autre histoire. On cherche l’escalier d’un immeuble un peu usé, on passe devant un agent de sécurité souriant, et là… une vue à couper le souffle. Les temples dorés de Bangkok, les gratte-ciel sans fin de Mexico City. On commande un cocktail ou une eau de coco, au choix, on prend une photo, puis on s’assoit. Juste contempler.

14. Tester les meilleurs bao dans un quartier populaire de Taipei

Taipei est la capitale mondiale du bao, ces fameux petits pains vapeur fourrés. Ici, pas besoin de guide Michelin. Il suffit de suivre son nez et les files d’attente locales. Par là un stand familial, ici une petite échoppe avec des sièges en plastique. Les baos sortent fumants, et chaque bouchée est une explosion. On compare, on débat avec d’autres gourmands, et on repart le ventre plein et le sourire aux lèvres.

15. S’inventer un “coworking marathon” dans 5 cafés en une journée

Et si on transformait une journée de boulot en exploration urbaine ? On commence dans un coffee shop cosy, puis on enchaîne avec un espace arty, un rooftop tranquille, un bistrot avec prises sous les tables… À chaque étape, une ambiance différente, une nouvelle playlist, un autre latte. Et à la fin ? Une to-do list rayée et une belle cartographie des meilleurs coins où bosser.

16. Prendre le métro jusqu’au terminus et explorer au hasard

Pas de plan, pas d’attente. On monte dans le métro, on ferme les yeux, on descend au bout de la ligne. Là-bas, pas de touristes, juste la vraie vie. Un marché de quartier, un salon de thé, un parc où jouent les enfants. L’impression d’avoir changé de pays alors qu’on est juste à quelques stations.

17. Participer à une balade guidée par des locaux via une app ou un réseau bénévole

De nombreuses applications connectent voyageurs et habitants pour des tours gratuits ou des rencontres culturelles. Rien de mieux pour découvrir un endroit de la manière la plus authentique possible. Finalement, avant d’être une visite, c’est d’abord une rencontre. Une personne vous montre son quartier, vous parle de son enfance, de ses habitudes, de ce qui ne se voit pas sur les cartes. Vous repartez avec des anecdotes, des adresses secrètes et, parfois, qui sait, un nouvel ami.

18. Assister au lever du soleil depuis un spot secret de la ville

Avant que la ville ne s’éveille, tout est plus doux. Les rues sont calmes, les bruits assourdis. Chaque ville a ses petits secrets, et parmi eux, les bons spots pour admirer le lever de soleil. Alors on s’installe sur un pont, au bord d’un canal, ou en haut d’un escalier oublié. Le ciel s’illumine doucement, les premiers passants sortent, et vous êtes là, spectateur privilégié du réveil urbain. Un moment suspendu avant d’attaquer la journée.

8 défis sportifs

50 choses à faire dans sa vie défi sportif

Parce qu’être nomade, c’est aussi repousser ses limites

Quand on passe ses journées à jongler entre écran, Slack et cafés lattés, le corps finit par réclamer sa part d’attention. Heureusement, le nomadisme offre une infinité d’occasions de bouger autrement — et dans des décors qui donnent envie de se dépasser. Ces défis sportifs ne sont pas réservés aux ultra-performers : ce sont des expériences à vivre, à son rythme, pour (re)trouver le plaisir du mouvement… et sortir un peu de sa zone de confort.

19. Courir un 10 km local dans une ville étrangère

Inscrivez-vous à une course organisée dans votre ville d’accueil, et laissez-vous porter par l’énergie collective ! Que ce soit sur les pavés de Rome ou le bord de mer à Rio, c’est une manière unique de découvrir les lieux — en baskets et au rythme des battements de votre cœur. Et cerise sur le gâteau, on se fait souvent des potes dans le sas de départ ou autour d’un ravito.

20. Essayer l’escalade en bloc dans un gym local à Hanoï ou Medellín

S’il y a bien 2 villes qui se sont mises à l’escalade en bloc, ce sont celles-ci. Alors prenez une après-midi pour pousser une porte, enfiler vos chaussons, et vous retrouver à grimper aux côtés de parfaits inconnus. L’escalade de bloc est un sport ultra-social, où chacun encourage l’autre. À Hanoï ou Medellín, ces salles sont devenus de véritables hubs pour nomades actifs. Pas besoin d’être un pro : ici, tout le monde se plante, rit et réessaie.

21. Prendre un cours d’apnée à Dahab (Égypte)

Saviez-vous que cette petite station balnéaire de la mer Rouge est reconnue mondialement pour l’apprentissage de l’apnée ? Les eaux cristallines et les instructeurs expérimentés offrent un cadre d’apprentissage rêvé. À Dahab, l’apnée est une école de calme autant que de performance. Entre les sessions, on médite sur la plage, on respire avec intention, et on découvre à quel point le silence peut être puissant. Un défi autant mental que physique, dans une mer cristalline.

22. S’initier au surf à Taghazout, Ericeira ou Canggu

Ces trois spots légendaires accueillent parfaitement les débutants. Que vous choisissiez les plages dorées de Taghazout au Maroc, les côtes portugaises d’ Ericeira ou les vagues tropicales de Canggu à Bali, l’ambiance dans les écoles de surf est toujours détendue et encourageante. Tomber, ramer, rire, recommencer. Le surf, c’est l’humilité en mouvement. Et cette première vague tenue ? Elle reste gravée à vie.

23. Faire un trek de 2 jours dans les montagnes taïwanaises

Quitter les villes vibrantes de Taïwan pour s’enfoncer dans ses montagnes, c’est changer totalement de décor. L’air y est plus pur, les nuits étoilées, et les sentiers parfois déserts (mais bien balisés). Le corps fatigue, certes, mais l’esprit s’allège à chaque pas. Une vraie déconnexion, au rythme des crêtes. Et puis il y en a pour tous les goûts : l’île offre des parcours pour tous niveaux, des balades familiales aux ascensions techniques.

24. Nager en eau libre dans un lagon naturel

Ici, pas de ligne au fond de la piscine, juste l’immensité bleue. Que vous plongiez dans un cénote mexicain, une calanque secrète ou un lagon en Polynésie, chaque brasse est une caresse au monde sauvage. On flotte, on écoute le silence sous-marin, on se reconnecte à l’essentiel.

25. Faire une initiation au kitesurf ou au windsurf

Ces sports nécessitent un peu de temps pour être apprivoisés, mais offrent un shoot d’adrénaline inégalé. Tiré par le vent, porté par l’eau, on apprend à lâcher prise (et la voile) — et à recommencer, encore et encore. Tarifa, Cabarete, Le Morne : des spots mythiques où l’on se sent vivant dès les premières glisses. L’apprentissage demande patience et persévérance, mais les premières sensations de vol valent tous les efforts.

26. Grimper jusqu’à une pagode perchée dans la brume (Myanmar, Laos)

L’Asie du Sud-Est regorge de temples construits au sommet de collines ou de rochers. Et bien souvent, le moment privilégié pour en faire l’ascension, c’est à l’aube, alors que la brume enveloppe encore les collines. L’effort est réel, le souffle court, mais en haut : silence, spiritualité et panorama. Le temple de Taung Kalat au Myanmar ou celui de Pha That Luang au Laos offrent des montées mémorables. Ce sont des lieux de pause intérieure, où l’on contemple bien plus que le paysage.

7 aventures slow & bien-être

50 choses à faire dans sa vie retraite yoga

Quand on veut ralentir et respirer

Voyager en mode nomade, c’est aussi savoir lever le pied. Dans cette vie hyperconnectée où nos journées sont souvent dictées par des to-do lists et des notifications, s’arrêter devient une aventure en soi. Ces expériences sont là pour nous aider à retrouver notre souffle, notre ancrage, notre calme intérieur — et parfois, tout simplement nous-même.

27. Participer à une retraite de yoga silencieuse

Quelques jours dans un havre de paix, sans parler, sans scroller, sans performer. Juste respirer, méditer, s’étirer, s’écouter. Que ce soit à Rishikesh en Inde, à Ubud à Bali, ou dans la jungle du Costa Rica, ces retraites silencieuses sont de vraies déconnexions en profondeur. On en ressort transformé, apaisé… et parfois avec des réponses qu’on ne cherchait même plus.

28. Faire une journée complète de digital detox dans la nature

24 heures sans écran. Ni téléphone, ni ordi, ni montre connectée. Juste vous, la nature, et le temps qui passe lentement. Une plage vide, un sentier forestier, un rocher en altitude : peu importe le décor, ce qui compte, c’est de se réapproprier le présent. Lire, écrire, marcher, observer. Se rappeler que le monde continue de tourner, même sans Wi-Fi.

29. Dormir dans une cabane perchée (France, Canada, Japon…)

Grimper quelques marches et se retrouver dans un cocon suspendu entre ciel et terre. Une cabane dans les arbres, c’est une parenthèse enchantée, un retour à l’enfance, un moment de reconnexion à la nature. On s’endort au bruissement des feuilles, on se réveille au chant des oiseaux… et tout paraît plus simple, plus doux, plus juste.

30. Rejoindre un cercle de méditation local

De nombreuses communautés locales organisent des séances de méditation collective ouvertes aux visiteurs. On arrive un peu timide, on s’assoit sur un coussin, et puis… on respire ensemble. Dans un temple, un parc ou un centre communautaire, ces méditations partagées créent des liens invisibles mais puissants. Même sans parler la même langue, on se comprend. C’est un moment rare où la présence suffit.

31. S’offrir un massage traditionnel balinais ou thaïlandais

Ces techniques millénaires, pratiquées par des thérapeutes formés dans la tradition, offrent une détente qui donne envie d’y revenir. Ce n’est pas juste un massage, c’est un voyage intérieur. Le toucher précis, les pressions rythmées, les huiles parfumées… Le corps relâche enfin les tensions accumulées à force de travailler sur des chaises dures ou dans des cafés bruyants. Et l’esprit, lui aussi, se calme. Un vrai reset pour repartir plus léger – et surtout un investissement santé indispensable après des semaines passées devant l’ordinateur.

32. Lire un roman dans un hamac toute une après-midi

Pas de podcast, pas de stories. Juste un bon vieux roman, du papier qui sent l’encre, un hamac qui balance doucement, et le monde autour qui s’efface. C’est simple, mais tellement rare et précieux. S’offrir ce luxe de l’inutile, du lent, du contemplatif — c’est presque un acte de rébellion douce contre notre époque.

33. Se lever pour regarder le lever du soleil… sans téléphone

Pas de photo, pas de réel, pas de filtre. Juste vous, le ciel qui passe du noir à l’or, et le silence du monde qui s’éveille. C’est un moment intime, brut, presque sacré. Et ce que vous ressentez, là, personne n’a besoin de le voir. Il vous appartient.

7 road-trips et escapades nomades

50 choses à faire dans sa vie road trip

Bouger pour mieux se poser

Parfois, on n’a pas besoin de traverser un continent pour se sentir ailleurs. Il suffit d’un van, d’un train, d’un deux-roues ou d’un bus local. Le mouvement fait partie de notre ADN nomade. Ces mini-aventures sur la route permettent de vivre au rythme du voyage, d’embrasser l’imprévu et de redécouvrir le plaisir simple de changer de décor.

34. Louer un van pour 10 jours en Nouvelle-Zélande ou au Portugal

Dix jours, un van, et une route qui s’ouvre devant soi. En Nouvelle-Zélande, les fjords, volcans et plages désertes se succèdent comme dans un rêve. Au Portugal, l’océan vous accompagne, du sud sauvage jusqu’aux villages perchés de l’Alentejo. Dormir au bord d’une falaise, cuisiner face à un lac, suivre le soleil… Une initiation douce à la vanlife qui donne souvent envie de prolonger.

35. Explorer Java ou le Vietnam en train

Oubliez les vols internes : ici, le train est une invitation à ralentir. À Java, on traverse des rizières brumeuses, des volcans fumants et des villes vibrantes. Au Vietnam, la ligne Hanoï–Ho Chi Minh serpente entre jungles, littoraux et montagnes. On lit, on regarde le monde défiler, on partage un thé avec un inconnu. Un voyage où le trajet compte autant que la destination.

36. Dormir dans une yourte en Mongolie ou dans les montagnes de Géorgie

Sous les étoiles, dans le silence des grands espaces, une yourte vous accueille. En Mongolie, les steppes s’étendent à l’infini, et la vie nomade prend tout son sens. En Géorgie, les montagnes du Caucase offrent un écrin sauvage pour ces habitats ronds et chaleureux. On y dort bien, on y mange local, et surtout : on y vit différemment, le temps d’une nuit ou deux.

37. Traverser l’Andalousie ou le Maroc en bus local

Loin des itinéraires touristiques, les bus locaux offrent un aperçu brut et sincère du pays. En Andalousie, on serpente entre villages blancs et collines dorées. Au Maroc, on grimpe l’Atlas entre chèvres perchées et paysages lunaires. Les conversations fusent, les arrêts sont imprévus, le rythme lent… Et c’est justement ce qui rend le voyage inoubliable.

38. Faire un trip improvisé en stop (avec prudence)

Le pouce tendu, un sac léger, et l’aventure commence. L’auto-stop reste l’une des formes de voyage les plus libres — et les plus humaines. Chaque conducteur a une histoire, chaque trajet une surprise. Bien sûr, on choisit ses destinations avec discernement, on reste vigilant (et surtout vigilante)… mais la magie des rencontres imprévues opère à chaque détour.

39. Partir en scooter explorer des villages autour de Chiang Mai

Le nord de la Thaïlande se découvre idéalement en deux-roues. Autour de Chiang Mai, les routes s’enroulent autour des collines et mènent à des temples oubliés, des marchés de village, des cascades cachées. Et le scooter offre la liberté d’explorer à son rythme. Alors un casque, un plan (ou pas), et c’est parti. On s’arrête pour un curry, un massage, une vue. On se perd… et c’est tant mieux.

40. Faire une pause dans une station thermale en chemin

Sur la route, il y a des étapes qui régénèrent. Les sources chaudes d’Islande, les onsen japonais, les bains romains d’Europe de l’Est… Ces haltes sont des cadeaux pour le corps fatigué, l’esprit agité. On s’y détend, on s’y ressource, on y trouve parfois des réponses à des problèmes de boulot pile à ce moment là, juste parce qu’on lâche prise.

5 immersions culturelles

50 choses à faire dans sa vie immersion culturelle

Quand l’aventure, c’est aussi l’autre.

Voyager, ce n’est pas seulement changer de paysage. C’est aussi entrer dans la vie des autres, effleurer des traditions, apprendre des gestes anciens, écouter des histoires qu’on n’aurait jamais devinées. Ces immersions nous rappellent que l’humain est au cœur de toute grande aventure. Elles tissent des liens invisibles mais durables — et transforment un simple séjour en vraie rencontre.

41. Apprendre une danse traditionnelle en Amérique du Sud

Un pas à gauche, un pas à droite, et voilà qu’on entre dans l’âme d’un pays. En Colombie, la salsa s’invite jusque dans les rues. En Argentine, le tango raconte des histoires de passion. Au Brésil, le forró rassemble les corps et les cœurs. Prendre quelques cours, c’est bien plus qu’apprendre à danser — c’est s’ouvrir à une culture qui s’exprime par le rythme et le mouvement. Et très vite, les sourires remplacent les mots.

42. Dormir chez l’habitant dans un petit village reculé

Loin des hôtels standardisés, il y a ces nuits où l’on partage une soupe maison, un coucher de soleil, une conversation traduite par les gestes. Dormir chez l’habitant, c’est découvrir la vraie vie : celle des campagnes, des traditions transmises à table ou au coin du feu. C’est écouter, observer, participer, parfois même aider. Et repartir avec le sentiment d’avoir été accueilli comme un parent éloigné qu’on ne connaissait pas encore.

43. Participer à une cérémonie du thé au Japon

Tout ralentit. Les gestes sont précis, les silences éloquents. Dans une petite pièce sobrement décorée, un maître de thé vous initie à l’art du moment présent. Cette cérémonie très codifiée, profondément ancrée dans la philosophie zen, dépasse le simple fait de boire du thé. Un art de vivre japonais qui invite à la contemplation, au respect, à l’humilité. Une parenthèse suspendue où chaque détail prend un sens. On en ressort apaisé — et changé.

44. Faire un tour de quartier avec un guide bénévole local

Il y a les monuments, et puis il y a tout le reste : les histoires que seuls les habitants connaissent, les coins oubliés des guides, les anecdotes qui donnent une âme aux rues. Dans de nombreuses villes, des bénévoles passionnés proposent des balades à taille humaine. Ils vous montrent leur quotidien, leurs souvenirs, leurs espoirs. C’est souvent dans ces tours qu’on comprend vraiment l’essence d’un lieu — et qu’on s’attache à lui.

45. Travailler quelques jours dans une ferme ou une guesthouse (WWOOFing, Workaway)

Mettre les mains dans la terre, préparer un repas collectif, repeindre une cabane… Ces quelques jours de volontariat changent la perspective. Le temps ralentit, les échanges se font plus simples, plus sincères. Que ce soit dans une ferme en Croatie, une auberge au Mexique ou un écolieu au Vietnam, ces expériences apportent un ancrage réel, un sentiment d’utilité. On repart fatigué, oui, mais heureux — et souvent, un peu nostalgique.

5 aventures gustatives

50 choses à faire dans sa vie gustatif

Parce que la cuisine est souvent le plus court chemin vers le cœur d’un pays.

On pourrait traverser un continent sans jamais vraiment comprendre où l’on est… jusqu’à ce que l’on s’attable. Car la cuisine, c’est plus qu’une affaire de goûts : c’est une histoire, une fierté, une mémoire collective servie dans une assiette. Chaque bouchée peut devenir une porte vers l’autre — et ces aventures gustatives nous rappellent que l’on voyage aussi avec les papilles.

46. Tester un plat inconnu chaque semaine

Et si on se lançait le défi de goûter l’inattendu ? Chaque semaine, un plat dont on ne connaît ni le nom, ni la composition. Ce petit jeu transforme les repas en surprises quotidiennes. Entre euphorie culinaire et grimaces involontaires, on apprend à se laisser surprendre, à oser. Et parfois, on tombe amoureux d’un plat dont on ignorait jusqu’à l’existence.

47. Prendre un cours de cuisine locale

Plonger les mains dans la pâte, découper des herbes fraîches, écouter une grand-mère raconter comment sa recette de curry est la vraie. Apprendre à cuisiner sur place, c’est comprendre le pourquoi autant que le comment. C’est aussi pouvoir, une fois rentré, raviver un souvenir de voyage dans sa propre cuisine, et le partager avec ceux qu’on aime.

48. Manger dans un marché de nuit sans rien googler

Pas de TripAdvisor. Pas de traduction automatique. Juste l’odeur, les bruits, la foule, les gestes des cuisiniers. Dans ces marchés nocturnes bouillonnants d’Asie ou d’Amérique latine, on apprend à faire confiance à son intuition (et parfois à son estomac). On pointe un plat inconnu, on s’assoit sur un tabouret bancal, et on laisse la magie opérer. Frissons garantis.

49. Goûter le café (ou thé) local dans chaque nouveau pays

Il y a le goût, bien sûr. Mais aussi tout ce qui l’entoure. Le rituel, la tasse, le geste, le moment. Le café préparé lentement dans une petite rue d’Istanbul, le thé brûlant servi dans un désert marocain, le chai épicé dégusté au lever du soleil à Varanasi… Chaque gorgée devient un instant suspendu, une façon de dire : je suis ici.

50. Cuisiner un plat typique avec un(e) local(e) chez lui

Le clou du voyage culinaire. Être invité dans une cuisine familiale, apprendre à rouler les feuilles de vigne ou à doser le piment, écouter les anecdotes autour de la table… C’est un moment de transmission, de complicité. Le plat cuisiné devient secondaire — ce qui compte, c’est le lien créé autour de lui. Et quand on quitte la maison, on emporte un peu plus qu’une recette : une histoire partagée.

Qu’allez-vous ajouter à votre bucketlist ?

Cette liste de 50 choses à faire dans sa vie prouve une chose essentielle : vivre en digital nomad, ce n’est pas choisir entre travailler sérieusement ou vivre intensément. C’est justement l’art de marier les deux. C’est prouver qu’on peut boucler un projet le matin, et apprendre à danser la salsa le soir. Qu’on peut brainstormer sous les cocotiers, méditer au lever du jour ou rédiger un rapport en yourte.

Chaque aventure, qu’elle soit sportive, gustative, humaine, contemplative, ne nous éloigne pas de notre mission pro… elle l’enrichit. Parce qu’un esprit curieux, nourri, émerveillé, crée mieux, décide mieux, vit mieux.

Finalement, être nomade, c’est ça : faire du monde entier notre bureau, notre école, notre terrain de jeu. C’est hacker la routine pour y injecter de l’inédit, du vivant, du vrai.

Alors dites-nous… Laquelle allez-vous ajouter à votre bucketlist ?

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